Nos jeunes fassent au chômage
Entretien : avec le Haut Commissaire au Plan, M. Ahmed Lahlimi. Un séminaire sur la jeunesse a été organisé dernièrement à Rabat, par le Haut commissariat au Plan à l’occasion de la publication du rapport général de la population et de l’habitat. Constat : « Les jeunes représentent 21% de la population marocaine et l’emploi constitue ses principales occupations. » Pourquoi le choix du thème de la jeunesse dans les assises de la commission supérieur de la population? La jeunesse a été étudiée dans le rapport général de la population et de l’habitat rendu public fin 2004. Cette catégorie d'âge constitue 21 % de la population marocaine. En plus, les jeunes vivent d’énormes problèmes en matière d'emploi, de formation et d'insertion sociale, auxquels doivent penser sérieusement les responsables marocains. Le chômage est parmi les occupations majeures des jeunes d’aujourd'hui. Que ce que vous en pensez? Le chômage constitue 15% dans la tranche des jeunes. C'est un drame de société. Ainsi, il faut poser certaines questions : Est ce que ce chômage est simplement provisoire? Est ce que l'offre d'emploi n'est pas suffisante au Maroc? Est ce que les jeunes n'ont pas reçu une formation adaptée à l'emploi? … C'est pour ça que le problème du chômage a été un thème essentiel dans notre séminaire. Quels efforts déploie l'Etat pour réduire le taux de chômage chez les jeunes? Le gouvernement est en train de préparer des assises pour revoir sa politique d'emploi. C'est lui qui est chargé de la répartition des investissements ou des revenus, qui conditionnent l'offre d'emploi. Pour notre mission, elle est lié tout simplement, à l'étude de la situation de la population et ses problèmes afin d'établir un rapport qui sera discuté par le gouvernement. Finalement, quelle est la meilleure solution pour améliorer la situation des jeunes et réduire le taux de chômage au Maroc ? Premièrement, il faut réduire le problème d'inadéquation de l'éducation avec l'emploi et ce par la révision de la formation, de façon à l'adapter aux exigences du marché du travail. Deuxièment, il faut encourager les initiatives privées et les investissements générateurs d'emplois. Par conséquent, on aura une offre d'emploi très forte et nos jeunes peuvent facilement obtenir l'emploi. Troisièmement, les jeunes ont besoin d'un encadrement culturel, social et politique pour qu'ils puissent développer leur potentiel, leur capacité créative et les dons qu'ils possèdent dans ces différents domaines. Ces activités sont elles même générateurs d’emplois.
Nouvelle chaîne au Maroc La Quatrième chaîne
Nouvelle chaîne au Maroc La Quatrième chaîne éducative<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
Interview exclusive1 : Maria LATIFI, directrice de la quatrième chaîne éducative
Marocaine.
Docteur de la sémiologie audiovisuel et agrégée en lettres modernes de la faculté Sorbonne à Paris, Maria LATIFI à réussi un parcours excellent à 2M et à <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" />
Mme Maria LATIFI, pourquoi une chaîne éducative au Maroc?
D'abord, les chaînes thématiques est devenu un concept universel. Puis, avec la libération de l'audiovisuel au Maroc, la présence d'une chaîne éducative reste une priorité. Par ailleurs, nous somme dans une logique de réformes de notre éducation et de notre enseignement. Ici, éducative n'est pas, seulement, dans le sens scolaire, mais dans le sens d'une culture citoyenne.
Quels sont les moyens techniques, ainsi que les ressources humaines dont dispose cette chaîne?
Nous venons d'acheter pour 7 millions de Dhs notre matériel et nous avons recruter un staffs de personnel technique et d'animation. Nous somme une petite chaîne et nous grandirons avec nos ambitions.
Est ce qu'on peut considérer la quatrième chaîne comme un service interne de la RTM?
Absolument pas. Car cette chaîne, est crée dans le cadre de la société nationale de la radio et télévision (SNRT). Elle sera donc, totalement et entièrement, autonome.
Est ce que vous avez effectué une étude avant le lancement de la chaîne éducative?
Effectivement, nous avons fait une étude de faisabilité, de mise en oeuvre et de l'attente des téléspectateurs avant tout.
En parlant des téléspectateurs, qu'elle est votre public ciblé?
Le cur de notre cible, est les jeunes de 15, 30, 35ans.
Après un parcours réussi à 2M et un passage à Aujourd'hui Le Maroc, est ce que Maria LATIFI, est la personne la mieux placée pour diriger la chaîne?
Mmm,... Moi je n'ai pas à répondre à cette question mais, je pense que cette nomination est l'une de mes grandes reconnaissance. Dons. j'espère être digne de cette confiance.
Interrogé par : Salah-éddine Taoufik
Interview exclusive 2 :
Nabil Benabdellah, ministre de la communication
Est ce qu'on devait attendre la libéralisation de l'audiovisuel, pour lancer la quatrième chaîne éducative marocaine?
Bien sûr, puisque ce produit vient matérialiser l'ouverture de notre paysage médiatique qui va dans deux sens : D'abord, permetter à l'initiative privée d'exister. Ensuite, restructurer notre secteur publique et diversifier les produit. donc, la "quatre" s'inscrit comme le premier produit thématique dans notre télévision national et nous attendant, probablement, d'autres initiative dans d'autres créneaux.
Que pensez-vous de la concurrence qui peut exister?
La concurrence est nécessaire. Ne la craignons pas mais, nous la voulons. Car, c'est cela qui va nous permettre d'atteindre l'excellence.
Une chaîne qui est satelitaire et non hertzienne. Est ce que cela veut dire qu'elle est destinée, en premier lieu, au Marocains Résident à l'Etranger?
Au Maroc nous avons 5 millions de paraboles, ce qui veux dire 20 Millions de marocains sur 30, regardent des chaînes satelitaire. Donc, elle est adressée d'abord, au marocains qui habitent sur le territoire national.
Interrogé par : Salah-éddine Taoufik
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Réalisée par : Salah Eddine Taoufik
2ème année F
LIngénu Voltaire Bookking international, paris 1993 Lauteur François Marie Arouet, dit Voltaire est né le 21 novembre 1694 à Paris. Armé du courage, il écrit très tôt des poèmes satiriques contre les grandes personnalités y compris le Régent. Ainsi, en 1714, il sera prisonnier pendant onze mois à la Bastille. Dès sa sortie, le jeune Arouet prend le pseudonyme de Voltaire et présente sa première pièce « dipe » qui connaîtra un grand succès. En 1726, il sera exilé pour trois ans en Angleterre ou il découvrira une liberté morale et une tolérance religieuse. Pour défendre ses idées philosophiques, voltaire délaisse le théâtre pour le roman grâce auquel il va briller en publiant « Zadig » en 1747, « Micromègas » en 1752, « Candide » en 1759
Le genre « LIngénu » est un conte satirique tiré des manuscrits du P.Quesnel : successeur du grand Arnaud (fondateur du jansénisme) à Port-Royal. Lespace et le temps Cette histoire véridique se déroule à lâge classique pendant le règne de Louis XIV. Quant au lieu, elle se concentre à la montagne de Saint-Malo en France. Les personnages principaux LIngénu, un Huron anti-jésuite, est le neveu de M.Kekabon. Ce dernier est un prieur, digne de respect, dans la montagne de Saint-Malo.Melle de Saint Yves est lamante de LIngénu et qui a réussi à le baptiser en Hurcule. |
Le résumé « LIngénu » est une histoire qui met la liberté de lindividu face aux restrictions religieuses, chose que déteste lingénu. Ce dernier baptisé à lâge de 22ans par Mlle de Saint Yves, souhaite de lépouser au contraire des principes. « Ce que je crois » Au niveau de la forme, lHistoire divisée en vingt chapitres, me donne une envie et une aisance à la lecture. En outre, son style, quoiquil soit simple, illustre le choix efficace des mots par lauteur. Concernant le fond, lépoque où se déroule lhistoire a certainement influencé lauteur car je le trouve fidèle à sa critique pour la liberté et les traditions religieuses en France contrairement en angleterre. Par ailleurs, le satyrisme de voltaire me semble trop implicite et nécessite une profonde réflexion malgré quil se présente, parfois, sous forme de jeux de mots. Enfin, lhistoire contient plusieurs séquences qui mont vraiment frappées par leur caractère fort, imprévisible et significatif. « Jai consumé mes jours à raisonner sur la liberté de Dieu et du genre humain; mais jai perdu la mienne; ni Saint Augustin ni saint Prosper ne me tireront de labîme ou je suis ». |